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mer aussi vite que vous voudrez, j’y donne mon consentement ; et le voilà lui-même. »

Lady Clonbrony se tourna vers son fils, qui parut en ce moment à la porte.

— « Ô ! ma mère, qu’avez-vous fait ! »

« Ce que j’ai fait ? » dit lady Clonbrony en suivant les yeux de son fils. « Bon Dieu, Grâce est évanouie ! morte ! lady Berryl ! ah ! qu’ai-je fait ! ma chère lady Berryl, que faut-il faire ? »

Lady Berryl vola au secours de son amie.

« La voilà qui reprend connaissance, » dit lord Clonbrony ; « venez avec moi, ma chère lady Clonbrony, éloignons-nous un moment, quoique je sois aussi impatient que vous de causer avec cette chère enfant ; mais elle n’est pas en état de nous entendre à présent. »

Grâce, en sortant de son évanouissement, vit lady Berryl penchée sur