rien. Lord Colambre ne s’expliquera pas, que vous ne soyez présente ; mais je juge à son air qu’il porte de bonnes nouvelles, et qu’il doit nous apprendre des choses extraordinaires. »
Ils se rendirent promptement chez lady Clonbrony.
« Oh ! ma chère lady Berryl, arrivez donc ! ou je mourrai d’impatience, » s’écria lady Clonbrony d’une voix à faire douter si elle riait ou pleurait. « Allons, allons, vous avez assez fait de complimens, assez dit que vous êtes charmés et ravis ; à présent, pour l’amour de Dieu, lord Clonbrony, asseyez-vous là, à côté de moi, où vous voudrez ! et vous, Colambre, commencez ; et contez-nous tout cela bien vite. »
Mais comme rien n’est si ennuyeux qu’une histoire contée pour la seconde fois, nous ne répéterons pas ici la narration de lord Colambre. Il la re-