Page:Edgeworth - L Absent tome 3.djvu/179

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

tait pas une raison pour me gronder si fort la dernière fois qu’il est venu ici, parce que j’avais tué une souris qui mangeait mon fromage. Le même jour il battit un petit garçon qui avait dérobé un morceau de ce même fromage ; malgré cela il n’a jamais voulu me permettre, pendant tout le temps qu’il est resté ici, de mettre une souricière. »

« Fort bien, ma bonne femme, » dit lord Colambre, qui s’intéressait fort peu, à l’affaire de la souricière, et qui n’était pas curieux d’en apprendre davantage sur l’économie domestique de M. Reynolds ; « je ne vous importunerai pas plus long-temps, si vous voulez avoir la bonté de m’indiquer le chemin de Toddrington ou celui du petit Wrestham, comme vous l’avez nommé, ce me semble. »

« Le petit Wrestham ! » répéta la vieille en riant ; « Dieu me bénisse ! d’où ve-