Page:Edgeworth - L Absent tome 2.djvu/263

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

raghty, qui devaient faire bombance avec lui quand les affaires de cette journée seraient finies. « Où est la clé de la cave, que j’en tire le claret pour l’après-dînée, et le vin pour le cuisinier, » disait l’un. — « Pour le coup, voilà de la venaison, » dit l’autre. — « De la venaison ! voilà comme on consomme la grosse bête de milord, » dit un troisième en riant. — « Et c’est fort bien fait, puisqu’il n’est pas ici pour la manger lui-même. » — « Ne mettez pas votre nez dans la cuisine, jeune homme, s’il vous plaît, » dit le cuisinier de l’agent à lord Colambre, en lui fermant la porte au nez. « Voilà le chemin du bureau ; si vous venez pour payer, montez par le petit escalier. »

« Non ; qu’ils passent par le grand escalier, » dit un domestique ; « c’est M. Garraghty qui l’a ordonné. Le bu-