Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
son temps : je me souviens d’avoir travaillé avec lui dans les jardins, au château de Clonbrony, quand j’étais petit garçon ; mais je ne veux pas retenir votre Honneur, le chemin est bon à présent. »
Le postillon mena la voiture grand train, jusqu’au moment où des pierres brisées, nouvellement jetées sur le chemin, le forcèrent à aller plus doucement. Ils rencontrèrent des charrettes sur lesquelles étaient empilés des lits, des tables, des chaises, des coffres, des balots.
« Comment va, Finnucan ? vous avez là bien du bagage ; venez-vous de Dublin ?
« Je viens de Bray. »
« Et quelles nouvelles ? »
« Grandes nouvelles, et mauvaises pour le vieux Nick, ou pour quelqu’un