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serez assez bon pour me passer ce caprice et vous conformer à ma fantaisie. »

« Je vous obéirai, milady, et je me tairai, quelqu’envie que je puisse avoir de parler sur ce sujet, » dit le comte ; « et je pense que lady Dashfort me récompensera de cette obéissance, en m’assurant que, quoiqu’elle ait tourné la chose en plaisanterie, elle la désapprouve, et en est, au fond, tout aussi choquée que moi. »

— « Oh ! choquée ! choquée au dernier point ! si cela peut vous satisfaire, mon cher comte. »

Le comte ne parut nullement satisfait : il montrait dans la vie civile autant de courage que dans la carrière militaire ; et le vif sentiment qu’il avait du bien et du mal, était à l’épreuve de la raillerie d’une belle dame.

La conversation finit là : lady Dash-