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seul n’est pas capable de faire la moindre impression sur l’esprit de sa nièce ; mais ce qui est tout pour Bélinde, c’est l’opinion de lady Anne et de son mari. Depuis le temps qu’elle est avec eux, leur empire sur son esprit ressemble à l’autorité paternelle ; je crois que je serai obligée de mettre l’épée dans la balance pour qu’elle penche de mon côté.

« Si vous pouvez terminer vos descriptions poétiques des tours pittoresques et des vieux châteaux du Dorset-Shire avant les ides de novembre, hâtez-vous de revenir, mon cher Clarence, pour assister aux noces de Bélinde. — N’oubliez pas ma commission auprès de l’ange du Dorset-Shire. — Que l’amour vous ait en sa digne garde ! — ou n’espérez plus un regard de votre sincère admiratrice et de votre amie,

T. C. H. Delacour. »

P. S. Remarquez, mon cher mon-