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des hommes, pourquoi ne penserions-nous pas à Clarence Hervey ?

Mais pourquoi y penser ? répondit Bélinde.

Pour deux excellentes raisons, ma chère. D’abord, parce que nous ne pouvons faire autrement ; et ensuite, parce qu’il le mérite. Oui certainement il le mérite ; croyez-moi, quand ce ne serait que pour m’avoir écrit ces charmantes lettres, dit-elle en ouvrant un secrétaire, et en prenant un paquet de lettres qu’elle mit entre les mains de Bélinde.

Lisez-les, je vous prie, et vous jugerez si je dois les placer à côté du Voyage sentimental de Sterne, ou des Sermons de Fordice. Regardez, par exemple, ajouta-t-elle, l’histoire d’une femme de Dorset-Shire, qui a eu le malheur d’épouser un homme aussi différent de M. Percival que ressemblant à lord Delacour. Cependant, ô miracle ! ils sont le plus heureux couple qu’on