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« Allah iarhemou »[1], disent les musulmans qui passent, sans un frisson…

Et le corps achève de se raidir, sous la dernière caresse du jour naissant, souriant avec la même joie mystérieuse à l’éternelle Vie et à l’éternelle Mort, aux fleurs du sentier et au cadavre du meddah

Bou-Saâda, février 1903

  1. « Dieu lui accorde sa miséricorde ». Se dit des morts.