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CHAPITRE IV
D’où viennent les cent mille francs. — Ma tante Aurore. — Un ménage à trois. — Je place mon mari dans la banque. — Comment on écrit l’histoire. — Un caractère comme on en voit trop. — Mon mari est jaloux[1]. — J’aime, pour la première, la seule fois. — Le Chandelier. — Mon mari prend le change — Une nouvelle aventure plus extraordinaire que les précédentes. — Encore un coup de théâtre. — Conclusion.
i mon mari avait pu savoir à quel prix
je m’étais procuré ce maudit argent,
quel affreux sacrifice je venais de faire
pour l’acquérir, il ne m’aurait peut-être
pas tuée[2]… Peut-être m’aurait-il adorée…
Qui sait ?