— Demain, je ne serai pas disponible[1].
— Je comprends. Va pour après-demain. À quelle heure ?
je me mourais. Je dis :
— Deux heures.
— C’est entendu. Vous avez mon adresse. N’allez pas l’oublier.
— Oh ! non.
— J’espère bien, reprit-elle, que cette affaire n’est pas la dernière que nous ferons ensemble.
— Je vous suis obligée.
— Il n’y a pas de quoi.
— À après-demain, donc, à deux heures. Adieu, ma toute belle.
— Ah ! il faut que je vous recommande encore autre chose, fit-elle, en revenant sur ses pas.
— Quoi donc ?
— Soyez en costume de combat.
— Que voulez-vous dire ?
— Est-elle innocente ! pour une marquise ! J’entends qu’il faut que vous mettiez un costume galant, et surtout pas gênant. Quelque redingote[2] de chambre, ouverte par devant. Et puis…