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LES DÉVOTIONS DE Mme DE BETHZAMOOTH
et s’en consola dans l’espérance d’avoir un
garçon de son mari, qui dans son cœur
et dans son lit eut bientôt repris tous ses
droits.
M. de Saint-Ognon vit encore dans la famille, constamment chéri et estimé de tous les parents. Le marquis de Vaucluse n’en parle jamais sans dire : C’est là le véritable ami de la maison. » Il se doute bien des moyens que l’ami de la maison a employés pour rendre sa femme raisonnable, et il s’en console en pensant qu’en ménage il vaut encore mieux être cocu que malheureux.
FIN