Page:Duval-Thibault - Les deux testaments, 1888.djvu/57

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
60
LES DEUX TESTAMENTS

pas aussi riche qu’on avait bien voulu le dire, et qu’il dépendait presque entièrement de ses bontés et de sa générosité, qui ne devaient pas lui faire départ, disait il. Mais il espérait qu’en retour, son neveu ferait quelques efforts pour se corriger de ses défauts, et apprendre à faire son devoir.

En ce moment, on vint lui dire que l’enfant était revenu de sa syncope et qu’il reposait tranquilement.

Il prit alors congé et retourna à Montréal.