que le bon Dieu leur envoie qui les rafraîchit.
« S’il ne pleuvait jamais, Pierrot, il n’y aurait pas de fleurs, pas d’herbe verte, pas d’arbres, pas de ruisseaux.
« Est-ce que quelqu’un est encore fâché de ce qu’il pleuve ? »
« Moi, j’en suis contente pour les pauvres petites fleurs, » dit Louisette.
— « Moi, j’en suis content pour les ruisseaux, » dit Pierrot, « parce que j’aime bien faire naviguer mon bateau sur le ruisseau qui passe dans le jardin. »
— « Moi, j’en suis content pour les arbres, » dit Jean, « parce que j’aime bien grimper sur les arbres. »
— « Moi, j’en suis contente pour les fermiers et les jardiniers, » dit Jeanne.
— « Et moi, » dit Maman, « je suis contente de voir que mes chéris sont raisonnables, et que leur bonne humeur est revenue. »
— « Voici Nounou avec Bébé, » dit