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LE DUC, même jeu.
- Il se peut… mais laissez-la !
MONTBABOR, de même.
- Vous partez… moi, ça m’chiffonne.
LE DUC, même jeu.
- Ça suffit… Allons, c’est bon !
ROBERT.
- Quittez-nous, puisqu’on l’ordonne.
LE DUC.
- Per Bacco ! laissez-la donc !
LES PENSIONNAIRES.
- Petite amie,
- Jamais n’oublie,
- Etc.
ROBERT, MONTHABOR, et GHIOLET.
- De ce jour passé parmi nous,
- Souvenez-vous.
- De ce jour passé parmi nous,
STELLA.
- Oui, je vous le promets, Stella
- S’en souviendra !
- Oui, je vous le promets, Stella
Aux soldats.
- En vous disant adieu ce soir,
- Amis, je conserve l’espoir
- Qu’un jour nous pourrons nous revoir.
Le duc cherche à l’entraîner, elle lui échappe et redescend près des soldats.
- Petit Français, gentil Français,
- Viens délivrer notre patrie,
- Par les femmes de l’Italie
- Tu seras bien reçu, tu sais,
- Gentil Français !
Le duc furieux la saisit par la main et l’entraîne vers le fond pendant la reprise du chœur.