Pourquoi donc ?… Au contraire… je me ferai un véritable plaisir d’assister à cette fête.
Ah ! bon ! me voilà bien !… (A Favart avec colère.) Va-t’en !
Mais, monsieur, permettez…
Il va encore dire quelque sottise… (Haut.) Veux-tu t’en aller, crétin, idiot !…
Oui, monsieur… (A part.) Si j’y comprends quelque chose…
Comme vous le secouez, ce pauvre garçon… (A Favart.) Mon ami !… (A Hector.) Voulez-vous me permettre de lui donner un ordre ?…
Tout ce que vous voudrez, marquis, vous êtes chez vous !… (A part.) Je n’en puis plus !
Mon ami, va dire à ta maîtresse que le marquis de Pontsablé désire lui présenter ses hommages…
Oui, monseigneur, j’y cours… (Voyant Hector qui lui fait de nouveau des gestes.) Mais qu’est-ce qu’il a donc ? il est malade…
Il sort.
Allons ! c’est fini, impossible de lutter davantage… autant tout lui dire… (Haut.) Monseigneur, un mot… ma femme… que vous avez vue à Arras… ne peut paraître devant vous…