sidérables ; dès-lors chacun d’eux doit chercher à placer successivement ces portions le plus promptement & le plus avantageusement possible, jusqu’à ce que les capitaux & les intérêts accumulés les uns sur les autres, composent une somme avec laquelle il puisse acquérir des propriétés dont le revenu moins sujet à vicissitudes, le fasse jouit en repos du fruit de son travail & de ses économies.
À sa retraite des affaires, l’homme qui le remplace suit constamment le même plan ; & il résulte de la multiplicité des fermiers, que leurs fonds versés continuellement dans tous les canaux de la circulation, y augmentent l’abondance ou la font naître, entretiennent le crédit public, & fournissent journellement au commerce une partie considérable de son aliment & de ses ressources.
Quand au contraire les bénéfices de-