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le champ s’agrandit à mesure qu’on s’avance, on est forcé de reconnaître son néant devant la grandeur des ouvrages de Dieu et les merveilles de la création, dont l’homme est la plus belle et la plus inexplicable.

Je ne sais rien, ô mon Dieu, sinon que vous m’avez créé et que ma pensée s’élève jusqu’à vous ; c’est assez pour croire que mon âme est immortelle. Sauvez-la par les