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l’homme, c’est en Dieu que nous eussions dû l’aimer. C’est Dieu que l’âme pieuse adore dans tout le bien répandu dans la nature. Il est le bien par excellence, et tout, hors le mal, vient de lui.

Quel vaste champ pour l’imagination chrétienne que la pensée de Dieu ; là, elle peut s’étendre sans risque de s’égarer. Le cœur de l’homme aura beau aimer, il n’é-