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pour faire le mal de propos délibéré ; mais nous le laissons faire en nous par l’ennemi, parce que nous ne veillons pas. Presque toutes ces douleurs morales, ces déchiremens de cœur qui bouleversent notre vie, auraient été prévenus si nous eussions veillé ; alors nous n’aurions pas donné entrée dans notre âme à ces passions, qui toutes, même les plus légitimes, sont la mort du corps et de l’â-