de M. du Quesnoy avait quelquefois de la dureté Allart ne pensa pas que ce fût un cas particulier.
Chez Charlotte, Françoise parla à Philippe de ces articles de journaux.
— Et je suis madame du Quesnoy ! dit-elle avec un soupir.
Allart en serait venu à souhaiter que M. du Quesnoy fût le plus irréprochable des hommes.
Joachim avait couru chez Popeland. Celui-ci, fort ébranlé par les bruits publics, avait questionné beaucoup de personnes sur M. du Quesnoy, et, naturellement, toutes lui avaient conseillé de garder son argent. De sorte que Popeland, ayant depuis peu touché ses quatre-vingt mille francs, déclara avec beaucoup d’embarras, et à force de circonlocutions, qu’il en avait besoin, qu’il ne pouvait plus en disposer.
— Vous m’avez joué, lui dit Joachim furieux.
— Mais je vous assure que… plus tard… nous pourrons reprendre, répliqua le timide Popeland.
— C’est une mauvaise plaisanterie, s’écria Joachim perdant la tête ; si vous étiez de mon monde, vous m’en rendriez raison.
Popeland se révolta cependant contre cet homme qui voulait lui prendre son argent de force.
— Ah ! monsieur, dit-il, dois-je vous livrer mon portefeuille ?
Joachim le toisa du haut en bas, mais fut bien forcé de quitter la partie.
Il lutta contre les événements qui tournaient mal. Il risqua dix mille francs qui lui restaient, et pressa la