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III

VOILES ENFLÉES


Allart restait le seul être heureux parmi tous ces personnages enveloppés dans le même tourbillon et secoués, jetés les uns contre les autres comme des feuilles sèches par un vent âpre.

Il était allé chez Mme du Quesnoy pour accomplir son devoir d’invité qui va remercier de la faveur qu’on lui a faite.

Il l’avait trouvée au milieu de quelques personnes, visiteurs indifférents et formalistes, et le charme n’avait pas été détruit. Au contraire, la perfection de Françoise lui parut plus grande au milieu de ces insignifiances d’une réception banale.

Et il n’eut plus qu’un rêve, revenir et la trouver seule. Elle lui avait indiqué ses jours de réception. Il s’ingénia à chercher un prétexte pour se présenter en