Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VIII, 1853.djvu/94

Cette page a été validée par deux contributeurs.
88
MONTBARS

tuné jeune homme avait été si violent qu’il resta pendant quelques instants incapable de lier deux idées suivies.

Les larmes de Jeanne lui prouvaient qu’un affreux malheur achevait de l’atteindre ; quel était ce malheur : il l’ignorait.

Ce fut seulement en apercevant Nativa assise dans l’endroit le plus obscur de l’appartement que la conscience du passé lui revint.

Faisant alors un suprême effort pour