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L’EXTERMINATEUR.
chures des haubans d’artimon, et ses yeux fixés — comme ceux d’un aigle — vers le foyer de l’ouragan, il se mit à interroger la tempête.
Bientôt ses traits resplendirent d’audace et d’inspiration, un sourire de triomphe passa sur ses lèvres, et, embouchant son porte-voix, il s’écria :
— Hale bas le foc d’artimon, la pouillouse, amure misaine et laisse arriver !
Un silence de stupéfaction, de mort, accueillit l’ordre de cette périlleuse manœuvre.