Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VII, 1853.djvu/322

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

nent à toutes rames… On se sera aperçu de ton absence… Nos compagnons accourent à notre secours… Nous sommes sauvés !…

Comme aucun Grenadin n’avait osé suivre le carrosse, le chevalier et son matelot purent mettre pied à terre sans courir le moindre danger.

Au reste, presque au même instant les embarcations abordaient.

À la vue de leur chef descendant du carrosse du Saint-Sacrement, les flibus-