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L’expression de férocité et de rage contenue qui se peignait sur son visage avait quelque chose de sublime.
Quant à de Morvan, son air soucieux, grave et recueilli, prouvait qu’il combattait seulement pour obéir à la voix du devoir, et qu’en lui était morte toute espérance.
Depuis vingt minutes que la lutte s’était régularisée, les deux compagnons d’armes n’avaient pas échangé une seule parole ; ce fut de Morvan qui le premier rompit le silence.