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siècles, tenaient le milieu entre le palais et la forteresse.

Bâties en pierres de taille, défendues par d’épaisses portes massives et possédant des azoteas crénelées, elles pouvaient à un moment donné soutenir avec avantage un siège, résister aux attaques d’une troupe d’esclaves révoltés !

Les Grenadins en ayant recours à l’artillerie ne méritaient donc nullement les plaisanteries et les sarcasmes du beau Laurent.