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pour toi ; pourquoi vouloir l’épouser ? Si elle t’aimait, est-ce qu’elle songerait à te reprocher ce que tu es ? C’est bien mal ce qu’elle a dit là. Je ne la trouve plus aussi jolie. Partons, mon chevalier Louis, partons.
— Jeanne, dit de Morvan en repoussant doucement la fille de Barbe-Grise, si tu avais réellement pour moi l’affection d’une sœur, tu ne parlerais pas ainsi. Sans Nativa le bonheur pour moi n’est plus possible !…
Quant à vous, senorita, ajouta de Morvan en se retournant vers l’Espa-