Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VII, 1853.djvu/227

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Vous acceptez, Nativa ? reprit de Morvan ivre de joie.

— Non, chevalier, je refuse ! Oh ! ne vous récriez point. Je suis intimement persuadée que vous tiendriez votre promesse ; que jamais une allusion, un mot de reproche capable de me rappeler mon erreur ne sortiraient de vôtre bouche. Je sens qu’avec vous le bonheur me serait facile… mais, hélas !…

— Nativa, vous vous taisez. De grâce, expliquez-vous.

— Hélas ! chevalier, — pardonnez-moi,