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nir, à moi, est fini sur la terre. Mes pensées sont à Dieu. Croyez que du fond du couvent où je vais me retirer, je prierai pour le bonheur de votre avenir.

— Que dites-vous, Nativa, s’écria de Morvan profondément ému. Vous retirer dans un couvent, vous si jeune, si belle ! non, c’est impossible. Ce sacrifice, conseillé par le désespoir, ne s’accomplira pas !…

— Je vous demande pardon, chevalier, il s’accomplira ! Et comment voudriez-vous qu’il en fût autrement ?