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raît qu’il n’est pas dans ma destinée de vivre comme les autres hommes… La nature a mesuré mes épreuves à mes forces… Je suis né pour souffrir ! Au revoir, ma douce Jeanne…

Laurent s’éloigna aussitôt de la cabine, d’un pas ferme et assuré.

— Ce que je veux doit tôt ou tard s’accomplir, murmura-t-il en se dirigeant vers le pont : Jeanne sera ma maîtresse !

Quant à la pauvre Fleur-des-Bois, à