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L’espion connaissait assez Laurent pour savoir qu’avec lui l’obéissance passive était le seul moyen à employer : il lui remit la seconde lettre.

— Est-il possible ! s’écria le flibustier, que vois-je ! « Au chevalier Louis de Morvan. » Ah ! Nativa, Nativa, mes dédains ont à ce qu’il paraît, porté leurs fruits, ton cœur vivement froissé t’a conduite tout droit à l’oubli de tes devoirs, à la honte ! Voilà vraiment un beau triomphe pour moi et dont je suis fier !


FIN DU TROISIÈME VOLUME.