Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VI, 1853.djvu/295

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

courba la tête, et parut accablée sous le poids de la honte : des larmes silencieuses coulaient le long de ses joues.

— Ma bonne Jeanne murmura de Morvan ému à la vue de cette douleur si sincère, pardonne un moment de vivacité bien involontaire.

— Oui, j’ai peut-être eu tort d’agir ainsi. Que veux-tu ? ce serait à recommencer que je ferais encore de même. Est-ce que je pouvais te laisser tuer, moi ! s’écria Jeanne avec explosion.