Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VI, 1853.djvu/228

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

calebasse la poudre étalée dans son chapeau, et, se dirigeant ensuite verts de Morvan :

— Mon ami, lui cria-t-il, je te remercie. Si jamais tu as besoin de Laurent… Ah bah ! c’est vous, dit-il en reconnaissant alors, dans la personne de son sauveur, l’homme avec qui il devait se battre le lendemain ; vraiment vous manquez de chance ! Pourquoi diable m’avez-vous retiré du mauvais pas dans lequel je me trouvais engagé ?… C’est d’une maladresse qui n’a pas de nom. Après tout, vous ignoriez sans doute qu’il s’agissait de moi ?… N’importe, je