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— Pourquoi es-tu heureuse, ma sœur ?
— Parce que tu es avec moi, chevalier Louis, répondit-elle naïvement, et en accompagnant ces paroles d’un doux et pur sourire.
À ce cri parti du cœur, de Morvan se sentit troublé ; avant de reprendre la conversation, il dut faire un effort sur lui-même afin de ne pas laisser deviner à la jeune fille son émotion.
— Jeanne, lui dit-il, y a-t-il long-