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trouverai jamais assez de force pour t’accompagner…
— Comment cela, Jeanne, pour m’accompagner ?
— Crois-tu donc que j’aurai le courage d’attendre ici la nouvelle de ton triomphe ou de ta mort ? Non pas, chevalier Louis, je veux assister à ton combat avec Laurent… Tu le tueras, n’est-ce pas ? Jure-moi que tu le tueras… D’abord, si tu étais vaincu, il n’y aurait plus de bonheur pour moi ! je te verrais sans cesse pâle et sanglant… ce serait affreux ! Et puis,