Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VI, 1853.djvu/13

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Au reste, que riches ou pauvres fussent leurs costumes, ce qui de prime-abord se remarquait dans les boucaniers, c’était la contenance assurée de leur pose, l’expression d’intrépidité naturelle et de froide détermination que reflétaient leurs visages mâles et bronzés.

À une centaine de pas du fort, s’élevait une charmante habitation, la propriété de Montbars ; ce fut là qu’il se rendit.

— Mon cher Louis, dit-il, une heure