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— Alain est le serviteur de mon neveu ; je doute que son maître consente à le céder !
— Je vous offre en échange dix livres de poudre et les deux meilleurs chiens de ma meute ! reprit le boucanier en se retournant vers de Morvan ; c’est un bon marché pour vous.
— Alain ne me quittera jamais, ou du moins, s’il se sépare de moi, ce sera de sa propre volonté, répondit le jeune homme que cette bizarre proposition fit sourire.