Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome V, 1853.djvu/58

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

vous ne sachiez pas comment on tient la garde d’une épée ! ou bien la bâtardise a-t-elle passé votre famille à ce point qu’il ne vous reste plus une goutte de sang noble dans les veines !…

L’impétuosité et le courage du duc de Chartres n’avaient pas besoin d’un tel stimulant pour éclater.

— En garde, monsieur ! s’écria-t-il, mettant vivement l’épée à la main.

De Morvan imita le prince. Dubois, après avoir hésité, allait s’élancer entre