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pendant votre absence, ils eussent respecté les habitations françaises qu’ils se hasardaient à attaquer, vous présent ! Quant au gibier ces damnés hidalgos déguenillés le détruisent avec acharnement, afin de nous réduire à la famine. Si cela continue, il ne restera bientôt plus un sanglier dans les forêts et les derniers boucaniers seront obligés, pour ne pas mourir de faim, de monter sur vos vaisseaux et d’entrer dans la flibuste !…
— Il y a déjà longtemps, mes amis que vous auriez dû prendre ce parti, répondit Montbars. Moi aussi, j’ai mené