Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
végétation luxuriante, ces forêts sombres, ce ciel de lave, de vermillon et d’or.
— Je cherche en vain des paroles pour rendre mon admiration répondit le jeune comte de Morvan, la langue humaine reste muette et impuissante devant ces sublimes magnificences de la nature ; mon cœur chante un hymne à Dieu !… Oui, ce pays est bien la terre de mes rêves !
Le canal, large d’environ deux lieues qui sépare l’île de la Tortue de la côte