Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome V, 1853.djvu/265

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Chaque fois qu’ils rencontraient une sentinelle ou une patrouille, le chevalier appuyait, un peu lourdement peut-être, son poignard sur la poitrine de leur guide et de Montbars armait son pistolet : aussi le gouverneur s’empressait-il de se faire connaître et de repondre au mot d’ordre !

Une demi-heure plus tard, les deux fugitifs et leur prisonnier se trouvaient sur la grève, au bord de la mer.

— Mon ami, Chaveignac dit de Montbars au gouverneur, serais-tu assez