Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome V, 1853.djvu/223

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

reaux de notre fenêtre ; nous sommes prêts !

Legoff réfléchit un moment, puis, reprenant la parole :

— Mon cher enfant, dit-il au chevalier, j’ai une foi inébranlable en mon étoile, et je suis intimement convaincu que nous sortirons à notre honneur de cette entreprise. Cependant, comme je pourrais me tromper, comme les desseins de la Providence sont impénétrables et qu’il suffit parfois d’un grain de