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Pendant ce siècle — car on sait combien les heures de la captivité se traînent lentes et paraissent interminables — Legoff ne se démentit pas un seul instant de son inaltérable sérénité.

Quant au chevalier, torturé par la jalousie et bouillant d’impatience il se levait chaque matin avec un nouveau plan d’évasion combiné pendant l’insomnie de sa nuit.

Legoff écoutait le plan avec patience, puis se contentait de dire :