Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/300

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Le lundi suivant, c’est-à-dire trois jours après, de Morvan, levé dès quatre heures du matin, s’occupait avec un soin infini et tout à fait en dehors de ses habitudes, des détails de sa toilette.

À six heures, il accusait déjà Legoff de lui manquer de parole et le trouvait en retard.

Alain, ce n’était pas la bonne volonté mais bien le savoir qui lui faisait défaut, assistait en spectateur aux préparatifs de son maître.

Il ne comprenait pas qu’un homme