Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/203

Cette page a été validée par deux contributeurs.

voir aimé, fut profondément ému par ces paroles qu’accompagnait une si séduisante pantomime ; il donna un libre cours à ses larmes :

— Ah ! madame, dit-il enfin en déposant un long baiser sur le front de la favorite, vous devez être fière et jalouse de ma grandeur, car c’est vous qui me l’inspirez !

La marquise dût déployer toute sa force de volonté pour ne pas laisser voir l’orgueil et la joie immenses que lui causaient ces paroles : en effet, la ré-