Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/175

Cette page a été validée par deux contributeurs.

mité un homme en qui ma chère nièce, Marie-Louise avait mis toute sa confiance, et dont elle a eu toujours si fort à se louer. Croyez que je n’oublierai jamais que c’est par votre intermédiaire que me sont parvenues les dernières lettres de votre reine, si cruellement surveillée dans ses affections de famille par les ennemis de ma maison.

Le grand d’Espagne s’inclina de nouveau devant le roi, et, prenant la parole d’un ton grave, presque solennel :

— Sire, dit-il, j’ai l’honneur, contrai-