Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/76

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Quant au Bas-Breton, : il reçut le coup de poing comme il avait déjà accueilli la menace, sans sourciller, sans manifester la moindre irritation, la plus légère impatience.

Cinq minutes plus tard, Buhot, n’ayant plus devant lui un écu était obligé de mettre de nouveau la main à la poche.

— Combien vous reste-t-il encore d’argent ? lui demanda alors Alain en lui saisissant le bras avec une telle violence que le drapier s’écria en pâlissant :