Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/70

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

L’exemple venant d’en haut n’avait pas tardé à porter de tristes fruits.

Bourgeois, rentiers, artisans, abbés, militaires tentaient avec fureur les chances du hasard ; pas une maison où l’on ne trouvât des cartes et des dés en quantité suffisante pour défrayer toute une académie.

Il y a donc pas lieu de s’étonner que le drapier Buhot, voulant mettre le comble aux plaisirs de sa journée, proposât une partie de passe-dix.

Comme le brave homme était dans