Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/64

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ceptible, cette découverte n’amena sur son front qu’un nuage passager, qui disparut presque aussitôt ; Alain parut même, soit qu’il eût prit son parti, soit que le vin du Bacchus-Galant l’eût mis en gaîté, se prêter avec une sorte de plaisir à la plaisanterie et faire à la gaîté commune le sacrifice de son amour-propre et de sa nationalité.

Buhot enthousiasmé se levait à chaque instant de table et l’embrassait en disant :

— Mon ami, jamais Bobèche ne m’a